Carnet de route
2017-02-10 Le Mont MEZENC
Le 11/02/2017 par PORCHER Raymond
Vendredi 10 février : Il a fallu arriver au village des Estables (1340 m) pour trouver un peu de neige. Nous poursuivons jusqu’au gîte (1510m), « la maison forestière du Mézenc », et en cours de route, le changement est brutal, neige, brouillard, le gîte n’est pas accessible en voiture ni même visible. Nous nous garons sur le parking déneigé de la station. C’est l’installation dans les chambres. Le gîte nous est réservé. Il est 19h, c’est l’heure du dîner, la table est prête. La serveuse nous sert la mise en bouche, première bonne surprise. Les autres plats, bien garnis, sont extras; le dessert est du même niveau. Les gros appétits et les gourmands sont ravis.
Samedi 11 février : Il est 8h, c’est l’heure du petit déjeuner. Une belle table bien garnie nous accueille. Chacun à ses croissants, pains au chocolat, fruits, yaourts, compote, avec brioches, cakes, pain, beurre, confitures, miel, thé, café, etc … l’abondance de bonnes choses. Tout le monde se régale. L’heure de démarrer la rando arrive; au programme: le Mont Mezenc. Le ciel est bouché, la visibilité est moyenne, il neige un tout petit peu, la neige est superbe. Le sommet, on ne le voit pas, la neige single le visage, les rafales de vent voudraient avoir raison des bonnets et des capuches. La table d’orientation apparait soudainement, givrée, et nous confirme que nous sommes bien au sommet, à 1753m. Une séance photos est de rigueur. Nous prenons alors la direction de la Croix de Boutières où nous décidons de prendre le pique-nique. Nous poursuivons, espérant avoir un peu de vue sur le cirque des Boutières, mais arrivés aux points de vue, le brouillard s’était installé, dense, dans le cirque. Nous décidons alors de rejoindre le gîte. Comme il nous reste du temps, nous descendons au village des Estables pour une visite. Les produits locaux ont fait le bonheur de chacun, le vin chaud est apprécié.
Dimanche 12 février : C’est le brouillard et la neige, les rafales de vent annoncées plus intenses que la veille. Nous quittons alors notre gîte pour trouver un temps plus clément un peu plus bas, à Freycenet-la-Tour. Ici, pas de brouillard, peu de neige, mais du vent à nous faire tituber. Ce circuit nous conduit à une cabane, à l’étang des Barthes, où nous pouvons pique-niquer à l’abri. Nous rejoignons ainsi les voitures pour la route du retour.





